Son corps est proche, son odeur envahissante et vos cœurs semblent battre à l’unisson. Tu ne sais plus comment te contenir, comment ne pas réfléchir à cette soudaine envie de l’attraper et de ne plus le lâcher. Alors tu trouves une excuse, tu lui demandes de te laver le dos. Tu te retournes et naïvement ou pas tellement tu te laisses laver, effleurer aussi. Il s’applique à la tâche, il t’effleure, te caresse, ses lèvres souffles sur ta peau. Frémissant tu glisses ta main contre ta nuque, puis il descend sur le bas de ton dos, l’une des zones les plus érogènes de ton corps. Tu baisses la tête, mord ta lèvre dans un sourire quelque peu gêné.
Tu es toujours se gosse dans un corps d’homme, tu es toujours ce type qui apprend de nouvelle chose sur lui-même. « Je vais me rendre utile, ne t'en fais pas. » Cette phrase te semble beaucoup plus coquine que naïve, tes joues s’enflamment et ton cœur déraille. Lentement tu te retournes pour lui faire face. Tu désires qu’il te désire, qu’il te regarde avec cette même envie que tu as pour lui, cette envie inconvenable de redécouvrir l’intérieur de son corps.
Lentement tu glisses ta main sur sa hanche, lentement comme si tu ne faisais que l’effleurer, puis finalement tu resserres tes doigts contre celle-ci et te rapproche de lui en le plaquant contre le mur froid. Finalement tu viens nicher ton visage contre sa nuque en baissant ta tête. Tes mains remontent le long de ses hanches et l’une d’elle fini par saisir sa main et la plaquer contre le mur froid. L’une de tes jambes s’invitent entre les siennes tu embrasses sa nuque et ta main vagabonde redescend de son dos à sous ses fesses que tu ne te tardes à empoigner. Tu remarques à présent qu’il a maigrit, qu’il n’a pas dû se nourrir correctement alors tu te redresses et pose ton menton sur le sommet de sa tête et entours son corps de tes bras d’une manière très protectrice, très douce.
- Tu es vraiment tout petit en taille. Si tu ne manges pas, tu ne grandiras jamais.
C’est ce que disais tes parents, puis tu as grandis beaucoup, trop vite. Tu as guéris et ça c’était beau, très beau. Tu le serres encore plus fort et finalement tu fermes les yeux. Il est en caleçon, toi nus et finalement les idées cochonnes se sont envolés lorsque tu t’es rendu compte de son état physique actuelle.
- Qu’es qui t’es arrivé ? Tu ne manges pas bien ? Ce n’est pas bien.
Accueil
